« LA HORA MÁS OSCURA » DE LIDIA FALCON ET LE LESBIANISME POLITIQUE ET PLURIEL
Palavras-chave:
Lesbianisme, patriarcat, société espagnole, relation de genre, société africaineResumo
Les relations de genre ont très souvent été conflictuelles, eu égard au protectionnisme exacerbé que certaines civilisations entretenaient, et que d’autres continuent d’entretenir, au détriment de la femme. Cette relation de sexe fort sur le sexe faible n’a pas été sans conséquences. En effet, il est à l’origine de l’agitation sociale observée vers la fin du 18e siècle, même si le mot féminisme apparait dans la seconde moitié du 19e siècle, avec le fils d’Alexandre Dumas en 1872. C’est dans cette dernière période que naît le lesbianisme sous sa forme radicale et politique, le but étant de se reconstruire socialement et de sortir de l’oppression du patriarcat, responsable de l’oppression des femmes au bénéfice des hommes. C’est pour quitter ce carcan oppressif de l’hétérosexualité que le lesbianisme apparait dans « La hora más oscura » (1983), une pièce théâtrale de la féministe Lidia Falcón, qui peint l’épouvante de quatre amies, toutes victimes du poids d’une société machiste.
L’objectif de cette étude est de souligner l’authenticité de l’origine du mouvement qui nait de problèmes vitaux dans une société espagnole sexiste, puis de relever les différentes modulations et perceptions qu’a connu ce courant dans les différentes sociétés.
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