La faiblesse de contrôle administratif dans la lutte contre la traite des enfants : Cas de l’enlèvement des enfants par l’Arche de Zoé à l’Est du Tchad,

Abstract

Cette étude vise à mettre en évidence et à traiter le crime de traite des enfants en raison de sa grande importance dans le domaine des droits de l'homme et du rôle du contrôle administratif par le système de police local et la police criminelle internationale - INTERPOL - pour le combattre, le limiter ou l'éradiquer. La traite des enfants est un crime grave de violation des droits de l'homme et la plus grande violation des droits de l'homme dans l'histoire de toute l'humanité. Cependant, l'abolition des anciennes formes d'esclavage fondées sur la propriété humaine de soi n'a pas empêché l'émergence de pratiques esclavagistes. De grandes institutions et organisations ont été développées, fondées par des hauts dirigeants du monde entier, pour agir ostensiblement comme une entité de sauvetage pour les personnes touchées par les crises mondiales. Avec un programme caché tel que voler des enfants et les échanger sur un marché illégal afin de les exploiter sainement en vendant des organes comme pièces de rechange, socialement en tant que serviteurs, politiquement en les mettant dans des conflits de guerre, économiquement en bénéficiant de leur corps ou de leurs efforts dans des conditions extrêmement humiliantes et dures. Malgré l'intérêt que lui porte le droit international et le considérant parmi les crimes contre l'humanité jugés par la Cour pénale internationale sous contrôle administratif strict pour elle, des lois et des protocoles ont été rédigés et des conférences et des traités ont été organisés aux niveaux national, régional et international afin de lutter contre la traite des enfants.